Ouvrier bottier de Paris. Il fut, en 1852, inculpé dans l’affaire de la rue de la Reine-Blanche (XIIe arr., maintenant XIIIe) avec Bernard Durand, Henri Favre, Antoine Viguier, etc. Il fut sévèrement condamné et accueillit la sentence au cri de « Vive la République ». Voir Roberge Eugène.
Y a-t-il homonymie avec Berthé Jean ?
SOURCE : I. Tchernoff, Le Parti républicain au coup d’État et sous le Second Empire, p. 225.