Né en 1795, tanneur à Morteau (Doubs), Jean Bidal fut condamné en 1819 à trois mois de prison et à cinquante francs d’amende, par le tribunal de Pontarlier, pour avoir tenu en public des propos séditieux. La peine fut confirmée en appel par la Cour de Besançon. Voir Cachot Antoine*
SOURCE : Arch. Nat., BB 18/989.