Affilié à la Marianne, il habitait probablement Rennes (Ille-et-Vilaine). En décembre 1855, Bodillier se trouvait en prison et le procureur général écrivait au Garde des sceaux qu’il faisait des révélations. Voir Camus* (Dr).
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/410, P. 1183.