Auteur de poèmes saint-simoniens et fouriéristes, il n’est connu que par ses œuvres :
Le vieux prolétaire (sans date).
L’impossible (sans date) :
Arrière, défenseur d’un passé qui s’écroule !
Un brillant avenir à nos yeux se déroule !
Aux poètes socialistes (1836) :
L’esclave devient serf, le serf salarié,
Il faudra bien un jour qu’il soit associé.
Oui ! car la voix du peuple est une voix suprême !
Frères, levez vos fronts purs de tout anathème.
Chaque nature est sainte, et prêcher en tout lieu
L’ordre et la liberté, c’est obéir à Dieu.
Foi, espérance et charité (1846).
ŒUVRES : Poésies saint-simoniennes et phalanstériennes, Paris, 1881, in-16, 108 pages. — Les Chants du travailleur, Recueil de chansons et poésies sociales, publié par Vinçard aîné, Paris, 1869.
SOURCES : Boissy, Poésies saint-simoniennes et phalanstériennes, Paris, 1881, in-16, 108 pages. — Les Chants du travailleur, Recueil de chansons et poésies sociales, publié par Vinçard aîné, Paris, 1869.