J. Bordier était signataire d’une pétition au nom des ouvriers tonneliers du port de la Rapée à Paris, protestant contre l’emploi sur le port d’un personnel non qualifié, ce qui accroissait le marasme des affaires, réduisait les ouvriers tonneliers professionnels au chômage quatre mois par an et les empêchait de trouver du travail passé quarante ans. Cette pétition, de 1822, reprenait l’essentiel d’une demande faite l’année précédente. Sans plus de résultat, elle devait encore être renouvelée en 1825. Voir Boudin*.
SOURCE : Arch. Nat., F 12/2191.