Domicilié à Uzerche (Corrèze). François Borie fut soumis pendant cinq ans à la surveillance de la haute police, en vertu d’une décision de la Commission mixte de la Corrèze, de décembre 1851. On l’arrêta, le 24 février 1858, pour le transporter en Algérie, conformément à la loi de sûreté générale.
SOURCE : E. Ténot et A. Dubost, Les Suspects en 1858, Paris, 1869.