Ouvriers mineurs d’Anzin (Nord) en 1837. Les deux frères Bottiaux ne furent pas considérés, par le tribunal correctionnel de Valenciennes, comme ayant joué un rôle très important dans la grève de juillet ; ils furent condamnés respectivement, le 31 du mois, à vingt jours et deux mois de prison. Sur appel a minima du procureur du roi, la cour de Douai les condamna à un an et un jour comme « chefs de coalition », au même titre que Adolphe Frère, leur camarade. Voir Frère Adolphe*
SOURCES : Arch. Nat., BB 18/1247. — Gazette des Tribunaux, 4 et 16 juillet, 4 août et 3 septembre 1837.