Journalière à La Bazoche-Gouët (Eure-et-Loir). La femme Boullay fut condamnée par contumace, le 2 mai 1817, pour cris séditieux, à six mois de prison et à cinq ans de surveillance policière.
SOURCE : Arch. Dép. Eure-et-Loir, série M, Police générale et administrative, Seconde Restauration, 2e liasse.