Par Claude Pennetier, Renaud Poulain-Argiolas
Né le 7 novembre 1886 à Folles (Haute-Vienne), mort le 26 mars 1960 à Vauhallan (Seine-et-Oise, Essonne) ; cheminot ; syndicaliste CGTU ; militant communiste de la Seine [Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne].
Henri Dardant vit le jour à Venassier, situé sur la commune de Folles (Haute-Vienne), au domicile de ses parents. Il était le fils de Félix, Pierre Dardant, maçon et cultivateur, né dans le même hameau, et de Marie Pachaud, cultivatrice, née dans le hameau de Fursannes dans la même localité. C’était le dernier enfant d’une fratrie de six.
Il se maria le 25 juin 1910 avec Marguerite Boury, domestique, à Pantin.
« Cheminot syndiqué », Henri Dardant se présenta aux élections municipales du 3 mai 1925, en vingt-cinquième position de la liste communiste de Pantin (Seine, Seine-Saint-Denis) où il habitait 54, rue Denis Papin. Surveillant à la gare de Nogent-le-Perreux (Seine, Val-de-Marne), il était, en 1929, trésorier du syndicat unitaire des cheminots de cette localité. Voir Marcel Brisbare.
Il était l’oncle de Marguerite Montré née Dardant et de Mathilde Dardant.
Par Claude Pennetier, Renaud Poulain-Argiolas
SOURCES : Arch. Nat. F7/13674, rapport du 12 mars 1929. — Arch. Dép. Seine, listes électorales. — J. Boutonnet, mémoire de maîtrise, op. cit.. — État civil de Folles, 1886, Naissances Acte n°29 (Filae). — Arch. Dép. Seine-Saint-Denis, État civil de Pantin, 1910, Mariages, Acte n°170, PAN 531W01. — Données du site Généanet. — Notes de Pascale Dardant.