Né vers 1790, à Ste Hermine (Vendée), demeurant 8, rue du Four Saint-Hilaire (?), garçon boulanger. Inculpé de coalition, Pierre Caillé fut arrêté et écroué à La Force, le 15 novembre 1833. Il en sortit le 26 janvier 1834, écrou rayé par décision de la 3e Chambre correctionnelle. Il est possible que ce soit lui qui soit évoqué dans une lettre de Crevat saisie sur Spirat, en 1835. (Voir Caillé Adolphe*)
SOURCES : Arch. Dép. Paris (Seine), registres d’écrou DY4/19 - 2860. — Note de J. Risacher.