Né à Antagnac (Lot-et-Garonne) le 10 octobre 1830. Tailleur d’habits à Casteljaloux (Lot-et-Garonne). Membre, à la fin de la Seconde République, de la société secrète de cette localité dont Lugéal était le chef. Victime du coup d’État du 2 décembre 1851, il perçut, en 1881, une pension de 150 francs par an. C’était un homme taciturne, énergique. Il portait un gilet rouge et un bonnet phrygien avant les événements de décembre 1851. Voir Lugéal*.
SOURCE : Arch. Dép. Lot-et-Garonne, série U, Tribunal de Nérac.