Il participa à une mission à Sedan, du 19 au 21 décembre 1836, et y prononça des sermons qui, selon le maire, tendaient à soulever la classe populaire contre la classe riche. En mars 1845, le Journal de Cherbourg signala qu’il avait parlé en chaire de l’organisation du travail et Charles Pellarin le cita avec éloge dans Démocratie pacifique du 21 du mois, pour ce sermon où il avait dit que « le prêtre du Christ saluera du fond de son cœur, de toute la joie dont son âme est capable, l’aurore de ce beau jour qui inaugurera une ère nouvelle dans les rapports du maître et de l’ouvrier, du capital et du salaire... »
SOURCE : J.-B. Duroselle, Les Débuts du catholicisme social en France (1822-1870), Paris, PUF, 1951.