Sellier et marchand d’articles de voyage au Havre (Seine-Inférieure), sans doute dès la fin de 1849.
Il aurait habité Paris, 7, rue de la Jussienne, en février 1848, et y aurait été « partisan fanatique des idées les plus avancées ». À la demande de ses voisins, il aurait été « gardé à vue » pendant les Journées de Juin, et ultérieurement on l’aurait désarmé. Il n’aurait annoncé son départ pour Icarie peu après que pour déménager plus commodément et pour s’installer, 72, rue Montorgueil. Marié, à la fin de 1848, il aurait maltraité sa femme, changé de domicile après le 13 juin 1849, où il se serait fait remarquer parmi les manifestants, pour loger, 37, rue d’Aboukir, et, de là, gagner Le Havre, maltraitant toujours sa femme.
SOURCE : Arch. Mun. Le Havre, J 2/2, liasse 11.