Domicilié à Saint-Esprit, aujourd’hui quartier de Bayonne (Basses-Pyrénées). « Meneur actif du parti socialiste », selon la minute d’une lettre non datée du chef de cabinet du préfet des Landes au commissaire de police de Saint-Esprit, localité limitrophe de Bayonne, alors rattachée au département des Landes. Dans cette lettre était prescrite la surveillance des garnis et cabarets de Saint-Esprit, où logent nombre d’ouvriers en déplacement (dont les ressources sont indiquées comme mystérieuses), de crainte qu’ils ne prennent contact avec le nommé Chas.
SOURCE : Arch. Dép. Landes, 5 M 40 ; d’après le contexte, il s’agit d’un document de 1852.