Gérant du journal Le Républicain du Centre. Condamné comme tel par le tribunal correctionnel de Limoges, il fit appel devant la cour d’appel, cependant que le ministère public, de son côté, interjetait appel a minima. La cour, le 3 janvier 1850, repoussa l’appel de Chassagne et débouta le ministère public, confirmant le jugement du tribunal correctionnel.
Le 6 mars 1850, Chassagne comparaissait devant les assises de la Haute-Vienne, pour une autre affaire de presse : il était condamné à quinze jours de prison et 200 F. d’amende.
SOURCES : Antoine Perrier, « Alfred Durin et le Carillon républicain », Le Mouvement social, n° 36, juillet-septembre 1961.