Né à Steenworde (Nord) vers 1818. Condamné à Valenciennes, le 8 mars 1850, pour distribution d’imprimés, il habitait Paris depuis 1852 et travaillait, en 1860, chez Napoléon Chaix. Il abritait alors une des presses clandestines réparties par Auguste Blanqui dans Paris.
Voir Annoy*, Bias Camille*, Sénique.*
SOURCE : M. Dommanget, « La vie de Blanqui sous le Second Empire », dans Le Mouvement social, avril-juin 1961. – Journal de Toulouse politique et littéraire, 19 juin 1861, p. [3].