« Père des cordiers » du compagnonnage. Il tenait sa pension à Paris, barrière d’Italie, en 1855. Voir Porchet Jean-Pierre*
Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article28811, notice CLAYE, version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.