Journalier à Niort (Deux-Sèvres), né à Paris. Dans un rapport de police datant de 1852, il était indiqué comme charpentier, rue des Trois-Cogneaux, à Niort, ce que tendrait à confirmer l’allure semi-compagnonnique de son surnom ; il figurait déjà à cette époque sur une « liste nominative des individus qui, en raison de leurs opinions politiques, méritent d’être surveillés de très près. » Il fut condamné, le 31 mai 1856, à trois mois de prison par le tribunal de Niort, pour affiliation à la société secrète la Militante. Voir Arbello Pierre*
SOURCE : Arch. Dép. Deux-Sèvres, 4 M 17/1.