Sabotier dans l’Aisne, il fut condamné par la cour prévôtale ou par la cour d’assises (selon les sources), le 12 avril 1818, pour complicité dans la levée d’une bande armée à la déportation. Il fut écroué dans la maison centrale du Mont-Saint-Michel. Sa peine fut commuée le 29 avril 1821 en 6 années d’emprisonnement. Il fut amnistié le 28 mai 1825 à l’occasion du sacre de Charles X. Il quitta le Mont le 17 juin 1825.
SOURCES : Arch. Nat. F 7 6773, F 7 6775, F 16 355 A et B. — Note de J.-C. Vimont.