Né à Nolay (Côte-d’Or) vers 1820. Adjoint au maire de cette ville sous la Seconde République, révoqué de ses fonctions pour sa propagande démocratique. Il était président d’une Société de secours mutuels, fondée par les démocrates de Nolay. Il fut, au lendemain du coup d’État, condamné à l’expulsion par la Commission mixte de la Côte-d’Or avec la mention : « Était à la tête des anarchistes qui devaient marcher sur Beaune ». Voir Lambert Jean-Baptiste*
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/400. — Note de Pierre Levêque.