CORDIER Pierre, François

Fabricant de peignes à Paris. Il se fit recevoir à la Jeune Montagne, filiale de la Marianne. Il fut condamné, le 4 août 1855, à six mois de prison, 100 francs d’amende, et cinq ans d’interdiction des droits civiques. Voir Ramade Isidore*.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article29077, notice CORDIER Pierre, François , version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 20 février 2009.

SOURCE : Arch. Nat., BB 30/413, P. 1246.

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