Maire « rouge » de Bertignat (Puy-de-Dôme, arrondissement d’Ambert) de 1848 à 1852. Sa célébrité, éphémère, lui vint de ce qu’il avait expulsé le curé et barricadé la porte de l’église avec les cordes des cloches. (Robert Schnerb, « Les débuts de la Seconde République dans le département du Puy-de-Dôme », dans Revue d’Auvergne, 1927, p. 404.)