Condamné, le 2 novembre 1855, par le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire), à quatre ans de prison, 100 F d’amende, et dix ans de privation des droits civiques, pour participation à l’émeute fomentée dans la nuit du 26 au 27 août précédent par la Marianne dans la région d’Angers-Trélazé. Voir Attibert François* et Blet François*.
SOURCE : F. Simon, La Marianne, société secrète au pays d’Anjou, Angers, 1939, p. 108.