Représentant de commerce à Saint-Étienne (Loire) en 1848. Après le pillage des couvents de Saint-Étienne, le 13 avril, il prit la tête d’une bande qui alla visiter les couvents de la banlieue, qui, comme ceux de Saint-Étienne, possédaient des métiers de passementerie. Il était lui-même à cheval et s’efforçait de faire régner la discipline dans sa troupe.
À Sorbiers, à Saint-Christo-en-Jarez, à Valfleury, à Fontanès, il fit procéder à la destruction des métiers et demanda des sommes minimes, pour que les hommes de sa troupe puissent « casser la croûte » et se désaltérer. Voir Aventurier Jeanne*
SOURCE : L’Avenir Républicain, 30 juin 1848.