Cordonnier à Saint-Jouin-sur-Mer (aujourd’hui Saint-Jouin-Bruneval, Seine-Inférieure). ç’aurait été, selon le commissaire de police, un « agitateur redoutable » (rapport du 2 septembre 1857). D’après divers témoins, en 1862, il aurait traité Napoléon III, dans sa boutique, sans se soucier de qui l’entendait, de « galérien », et d’« échappé du bagne ». La police recueillit alors des témoignages multiples de sa permanente hostilité contre l’Empire.
SOURCE : Arch. Mun. Le Havre J 2/1, liasse 12.