Né à Jussy-le-Chaudrier (Cher), à Saint-Léger-le-Petit (Cher) ; condamné par la Commission militaire, en janvier 1852.
Marié et père de deux enfants en 1851, journalier à Argenvières (Cher), sa participation au rassemblement armé d’octobre 1851 dans le Val de Loire lui valut d’être condamné par la Commission militaire, en janvier 1852, à 6 ou 8 ans de déportation à Cayenne comme « chef de société secrète ». Toutefois l’Etat de la commission mixte témoigne d’une condamnation à un internement de deux ans. Revenu dans le Berry, il mourut à Saint-Léger-le-Petit (Cher). Voir Ferdinand Baudelin.
SOURCES : Arch. Nat., BB 30 399. — Arch. Dép. Cher 25 M 108, série M, Police politique 50. — Note de M. Pigenet. — Jean-Claude Farcy, Rosine Fry, Poursuivis à la suite du coup d’État de décembre 1851, Claude Despoigny — Notes de Valentine Dumas.