Membre du groupe saint-simonien de Marseille en 1830, il utilisa en novembre 1831 les colonnes du Sémaphore pour y faire de la propagande saint-simonienne (articles « Du saint-simonisme », « Du mot Révolution », « Le bien-être des masses et la politique nouvelle »). Mais le groupe saint-simonien de Marseille se divisa en 1832 et Dory abandonna la propagande. En 1834, il exprimait son désenchantement dans une brochure autobiographique parue à Marseille : Retour au christianisme d’un saint-simonien. Voir Colin*.