Président d’une société de secours mutuels de Beaune (Côte-d’Or) qui avait obtenu deux résultats principaux, « celui de la fusion des travailleurs de toutes professions, naguère encore des plus antipathiques entre elles » et « celui de la mutualité qui s’établit entre tous les ouvriers, et qui les porte à s’unir, à s’entraider dans leurs travaux, à se soulager dans leurs souffrances ».
SOURCE : Démocratie pacifique, 2 novembre 1851.