Il fut condamné par la cour d’assises de la Haute-Marne le 1er octobre 1816 à la peine de la déportation pour faits séditieux. Il fut écroué au Mont-Saint-Michel où il demeura moins d’une année car il bénéficia d’une grâce le 25 août 1818.
SOURCE : J.-Cl. Vimont, Enfermer les politiques. Aux origines des régimes de détention politique (1810-1848), Thèse dact., Paris VII, 1991, 1295 pages.