Elle était l’une des multiples correspondantes du journal saint-simonien Le Globe. Dans une lettre, elle montra comment la découverte de la doctrine saint-simonienne avait su lui apporter réconfort et susciter en elle, de nouveaux espoirs pour l’avenir de la société. En intégrant la famille saint-simonienne, Adèle souhaitait participer à « l’association universelle » et à la régénération de la société afin d’améliorer le sort des classes les plus pauvres.
SOURCE : Michèle Riot-Sarcey, De la liberté des femmes : lettres de dames au Globe, Paris, côté-femmes éditions, 1992. — Note de Laurence Dupérier.