Limousin, expulsé du territoire en 1852. Il revint en France après l’amnistie du 16 août 1859 et se fixa à Saint-Ouen-sur-Gartempe (Haute-Vienne). (P. Cousteix, « L’opposition ouvrière au Second Empire en Haute-Vienne », Bulletin de la Société archéologique du Limousin, 1955.) Se confond-il avec l’aubergiste de Peyrat, Fargeaud, qui participa à l’action ouvrière en Haute-Vienne sous la Seconde République ? (P. Cousteix, « L’action ouvrière en Haute-Vienne sous la Seconde République », Ibid., 1954.)