Après la révolution de Février 1848, il était trésorier du « Comité des Ouvriers unis » de Troyes (Aube), où il représentait les peintres, les plafonneurs et les vitriers. Le 15 mars 1848, il abandonna cette organisation, trop liée aux radicaux, et adhéra au « Comité républicain départemental des Travailleurs » au bureau duquel on le vit figurer. (La Voix du Peuple, La Sentinelle républicaine, Le Propagateur de l’Aube.) Voir Person* pour le « Comité des ouvriers unis », et Vivien*, pour le « Comité républicain départemental des Travailleurs ».