Candidat en Dordogne, aux élections de la Constituante (avril 1848). Il défendit, dans sa profession de foi, l’organisation du travail : « Un des plus impérieux devoirs de l’Assemblée nationale sera de prendre en considération immédiate les vœux et les besoins dont les utopies ou systèmes qui se produisent sous le nom d’organisation du travail ne sont que la manifestation. »
SOURCES : Henri Moysset, « L’idée d’organisation du travail dans les professions de foi des candidats à l’Assemblée nationale de 1848 », La Révolution de 1848, t. III, n° 13, mars-avril 1906.