Il tenait le café de la Croix de Malte, à Marseille, qui fut le lieu de réunion, en 1848, de 40 à 50 personnes considérées comme des « démocrates rouges ». Voir Boyer Jean-Pierre*, Rolandin Joseph*
SOURCE : Arch. Dép. Bouches-du-Rhône, M 6/943, État des lieux fréquentés dans un but politique.