Candidat, dans la Loire-Inférieure, aux élections du 23 avril 1848. Dans sa profession de foi, il se prononçait en faveur de l’association volontaire du capital et du travail : « Il ne s’agit pas d’ailleurs de restaurer les vieilles organisations d’avant 89, mais l’existence de ces organisations suffit déjà comme argument de possibilité pour l’avenir. »
SOURCE : Henri Moysset, « L’idée d’organisation du travail, dans les professions de foi des candidats à l’Assemblée constituante de 1848 », La Révolution de 1848, t. III, n° 13, mars-avril 1906.