FOURNY

Cocher de fiacre à Paris. Membre d’une société secrète républicaine, il avait, en 1835, aidé Camille Berrier-Fontaine à s’évader de Sainte-Pélagie. Il retrouva Berrier-Fontaine dans l’Orne, en 1848. Il était, en mai 1851, maire de Saint-Gilles-des-Marais (Orne), et, d’après les découvertes faites par la police dans les papiers du colporteur François, dit Hortaire, aurait été correspondant du journal parisien Le Peuple de 1850.

Pour citer cet article :
https://maitron.fr/spip.php?article31147, notice FOURNY , version mise en ligne le 20 février 2009, dernière modification le 9 janvier 2018.

SOURCE : R. Jouanne, La Révolution de 1848 dans le département de l’Orne, Alençon, 1948, p. 47.

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