Il demeurait soit, 169, faubourg Saint-Antoine, soit, 55, rue Traversière-Saint-Antoine, à Paris. Il fut impliqué dans l’affaire du Comité révolutionnaire de Raynaud et Biotière, mais échappa au coup de filet du 9 juin 1853. On découvrit à son domicile un « écrit démagogique » et l’adresse d’un conjuré, Galas, « maître de chasse et de pêche », Hôtel du Cheval, à Neuilly-sur-Marne. Godard avait été condamné pour avoir confectionné des bombes incendiaires lors des événements de décembre 1851 ; il avait été gracié. Voir Raynaud André*
SOURCE : Arch. PPo., A a/434.