Marchand de vin rue de la Tonnellerie, à Paris, condamné en janvier 1844 à cinquante francs d’amende pour avoir autorisé dans son établissement une réunion de vingt-deux ouvriers qui n’avaient, dans l’immédiat, d’autre but que de chanter en chœur. La police considéra qu’il abritait une réunion politique ou corporative illégale, en raison surtout des opinions suspectes proférées par lui en d’autres circonstances.
SOURCE : Gazette des Tribunaux, 17 janvier 1844.