Socialiste révolutionnaire, il écrivait dans le Démocrate de Vaucluse, le 13 août 1851 : « La société actuelle, avec ses 1.500 millions d’impôts, son capital usuraire, l’épouvantable désordre de tout son régime économique, ne peut plus vivre. » (Ph. Vigier, La Seconde République dans la région alpine..., Thèse, Paris, 1959.)