Compagnon menuisier du Devoir de Liberté. Il était, quoique fort jeune, premier compagnon à Paris en 1842, quand il résigna ses fonctions pour venir s’installer chez Perdiguier qui ouvrait dans le faubourg Saint-Antoine, au passage de la Bonne-Graine, une pension pour ouvriers en même temps qu’une école technique de menuiserie. (Jean Briquet, Agricol Perdiguier,... Paris, 1955, p. 213.)