Né le 7 septembre 1819 à Moncaut (Lot-et-Garonne). Marié, père de sept enfants. Instituteur libre à Estillac (Lot-et-Garonne). On lui interdit d’exercer sa profession, de 1841 à 1856, en raison de ses opinions politiques « avancées ». Il fut prévenu, en décembre 1851, d’excitation à la guerre civile et transporté en Afrique par décision de la Commission mixte de Lot-et-Garonne. Il reçut en 1881 une pension annuelle de 1 000 francs.
SOURCE : Arch. Dép. Lot-et-Garonne, série M non classée.