Commerçant à Juillac (Corrèze). Il avait proféré à plusieurs reprises des menaces de mort à réaliser en 1852, ainsi que des attaques violentes contre la propriété. Il était signalé comme le « meneur » le plus dangereux du canton de Juillac. Il aurait été interné pendant deux ans à Chambon (Creuse), puis soumis à trois ans de surveillance, d’ordre de la Commission mixte de la Corrèze, s’il n’avait bénéficié du décret du 2 février 1853, prévoyant des suspensions d’exécution dans certains cas.
SOURCE : Breillout, La Révolution de 1848 en Corrèze, p. 144-145.