Cordonnier à Mirande (Gers). Un de ceux qui avaient mis tous leurs espoirs dans les promesses de l’année 1852. Il aurait déclaré à son percepteur : « Vous voulez faire saisir mon mobilier, faites-le. Il est vieux. En 52, j’en achèterai de neufs (sic) avec votre argent et celui des autres. Prenez garde à votre tête. » (G. Duveau, La Vie ouvrière en France sous le Second Empire.)