Femme du peuple et lectrice du journal saint-simonien Le Globe. En 1831, elle adressa une profession de foi pleine d’espoir à ce journal, afin de rejoindre la famille saint-simonienne. Elle désirait en effet contribuer à l’œuvre saint-simonienne : le bonheur de la « classe la plus pauvre et la plus nombreuse » à laquelle elle appartient.
SOURCE : Michèle Riot-Sarcey, De la liberté des femmes : lettres de dames au Globe, Paris, côté-femmes, 1992. — Note de Laurence Dupérier.