Tisseur, cour des Tapis, à Lyon, il appartenait, en 1870, à un groupe mutuelliste de prêts gratuits ou « Société de dix centimes ».
En 1848, il s’était fait remarquer pour ses idées révolutionnaires. (La Coopération lyonnaise jugée par l’ex-police impériale..., Lyon, 1870, in-8°, Bibl. Nat., Lb 57/207.)