En 1851, il fut compromis à Saint-Amand-en-Puisaye (Nièvre) dans les désordres qui se produisirent lors du tirage au sort, puis dans les événements de décembre. Il fut condamné à la transportation, mais comme il appartenait au contingent incorporable de 1851, on l’envoya au 68e régiment de ligne, à Pont-Saint-Esprit, où il devint tambour. Il fut, en 1855, impliqué dans l’affaire de la Marianne, société secrète socialiste, dirigée par Henri Chabannes*. Voir ce nom.
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/410, P. 1178.