Passementier, demeurant au quartier de Beaubrun, à Saint-Étienne (Loire), membre de la Société générale des passementiers, en formation puisque les statuts étaient en discussion, mais qui fonctionnait en fait. Il semble avoir été un des organisateurs des bris de vitres chez les passementiers qui continuaient à travailler après 7 heures du soir, malgré la décision de la société. Il était sur les listes de suspects au début du Second Empire (1851-1856). Il avait été arrêté, en janvier 1852, pour menées politiques. Voir Liogier Claude* et Teyssier Jean*.
SOURCE : Arch. Dép. Loire, 10 M 51, 10 M 35 et 10 M 37.