Né à Arpajon (Seine-et-Oise). Ouvrier formier à Paris, travaillant avec sa femme et son fils à l’Association des Ouvriers Formiers, 46, rue Saint-Sauveur (et, primitivement, 10, rue du Cadran). Caporal de la Ve légion de la garde nationale, il distribua des cartouches, le 4 décembre 1851, rue Pirouette où il demeurait, participa au désarmement des gardes nationaux, puis disparut, annonçant à ses associés qu’il allait dans son pays. Il fit l’objet d’une condamnation par contumace (« Algérie plus »).
SOURCE : Arch. Min. Guerre, B 1243.