Insurgé de Clamecy (Nièvre) en décembre 1851. Transporté en Algérie, gracié en mai 1852, il écrivit un récit de son voyage et de sa vie au camp de Douéra, près d’Alger, récit qui a été publié dans « Clamecy et le coup d’État de 1851 » (Bulletin hors-série de la Société scientifique et artistique de Clamecy, 1951). Voir Séroude*.
Rentré dans la Nièvre, il devint l’homme de confiance de la Compagnie des Intéressés de la Haute-Yonne, qui avait le monopole du flottage des bois.