Né en 1803. Journalier à Nançay (Cher). Père d’un enfant en 1851. Il s’était sans doute fait remarquer lors des troubles des subsistances de 1847 dans ce village de Sologne. On s’expliquerait mal sans cela l’extrême sévérité à son égard de la Commission mixte de Bourges après le coup d’État du 2 décembre, et les considérants qui accompagnent la décision Algérie moins : « Mauvais. Disant qu’il avait une grande cognée pour s’en servir contre ceux qui avaient voulu le faire mourir de faim en 1847. » Voir Pageon Sylvain*, Péraut Pierre*, Soulat*.
SOURCE : Arch. Nat., BB 30/399.